Giuseppe Catozzella a choisi de se mettre dans la peau de la jeune Saamiya, une athlète somalienne, pour raconter l'histoire de nombreux migrants, qui, remplis de rêves, d'espoirs et d'apirations tentent, au prix de nombreux sacrifices et au péril de leur vie, de rejoindre l'Europe. Symbole de courage, de volonté, de libération d'oppression de la femme, elle avance sur ce dur chemin en gardant à l'esprit la phrase de son père, qu'elle-même ne cesse de transmettre: "Il ne faut jamais dire qu'on a peur, sinon, la peur, cet horrible monstre, s'incrustera. Ne dis jamais que tu as peur, petite Saamiya"