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Jack White Acoustic Recordings 1998-2016 retrace la carrière musicale de White en 26 titres acoustiques : des titres d'albums, des faces B, des versions alternatives et des inédits. Les 26 titres ont tous été remasterisés en début d'année par Andrew Mendelson à Nashville, tous écrits et produits exclusivement par Jack White, sauf "Never Far Away" (produit par T Bone Burnett), "Honey, We Can't Afford To Look This Cheap" (produit par Beck), "Top Yourself (Bluegrass Version)" et "Carolina Drama" (co-écrite & co-produite par White & Brendan Benson), et enfin "Machine Gun Silhouette" (co-écrite par White & Rob Jones).

Le singer songwriter Canadien Danny Michel s'associe avec le Garifuna Collective de l'Amérique centrale pour un album produit par Ivan Duran au Belize.

Groupe séminal du mouvement slow-core aux côtés de Low, Spain revient avec un nouvel album "Carolina", qui s'inspire aussi de la country, de l'americana et du jazz.

A propos de "Dark swing", Ndidi nous dit que c'est la chronique de A à Z, d'une relation qui n'a duré qu'un an. Son coeur s'est brisé en l'espace d'une année. Dark swing a été écrit entre Paris et Los Angeles avec le producteur/musicien/songwriter Joel Shearer - elle l'enregistre finalement à l'automne 2012 au studio Band House à North Hollywood. L'album est une infusion de sons distillée autour de cette voix si rare - de son chant transpire l'univers musical de Ndidi empli de ses racines, world, blues, folk, rock et pop. Cela donne des chansons que l'on reconnait à la première écoute comme de vieux amis, mais sur lesquelles il est difficile de mettre une étiquette ! Ndidi séduit avec ce son très personnel, unique dans la musqiue d'aujourd'hui.

Si Don Cavalli est apparu à une audience plus large seulement avec Cryland (2007) puis Temperamental (2013), il avait déjà une longue carrière derrière lui. Son label A*Rag a choisi de rééditer De Profundis, sorti en tirage très confidentiel en 2003, avec en bonus 6 titres inédits sortis des mêmes sessions. Star incontestée alors de la scène rockabilly internationale, Don Cavalli cherchait à se réinventer avec un album enregistré sans artifice, seul chez lui. 12 ans après, c'est aujourd'hui l'occasion de redécouvrir seize chansons. Comme autant d'étapes de sa longue marche, hantée par les Anciens, à destination d'un Monde Nouveau : le sien.

Alors qu'elle connaît déjà un immense succès international, et qu'elle vend des millions d'albums dans le monde entier, Norah Jones ne se lasse pas de jouer avec ses vieux camarades. Lesquels sont Lee Alexander (basse), Richard Julian (guitare et voix), Jim Campilongo (guitare électrique) et Dan Rieser (batterie). Si elle s'illustre habituellement dans le jazz, c'est la country qu'elle décide ici d'explorer, avec sagacité et élégance avec The Little Willies. Dès 2003, le quintet se produit régulièrement dans les bars de la côte Est et de New-York, reprenant des standards country dont il est friand. Un passage triomphal par la salle new-yorkaise du Living-Room les convainc de rentrer en studio. Le résultat, simplement appelé ''The Little Willies'' (nom choisi en référence à Willy Nelson), paraît en 2006. Il ravit les amateurs de country comme les néophytes, sans aucun doute sensibles à la douce voix de Norah Jones. A l'image de leurs concerts américains, l'album offre des reprises de titres de Hank Williams, Fred Rose, Kris Kristofferson ou, bien sûr, Willie Nelson.

Le musicien américain est resté à Hawaii pour l'enregistrement de ce sixième album. C'est dans le studio Johnson's Mango Tree qu'il a collaboré de nouveau avec Mario Caldato Jr avec qui il avait déjà travaillé sur l'album ''In between dreams''. Ben Harper, son parrain musical qui l'a aidé à ses débuts, a répondu présent pour cet opus où il est venu poser sa voix et jouer de sa guitare Weissenborn.

L'hyperactif de Tucson (Arizona) est de nouveau sur le devant de la scène avec un nouvel album intitulé Future Standards. Accompagné de Lonna Kelley, le leader de Giant Sand se la joue crooner.

''Give till it's gone'' est le 10ème album de l'emblématique artiste californien. Après la parenthèse musicale ''Fistul of mercy'', avec Dhani Harrison et Joseph Arthur, Ben Harper revient à ses premières amours avec cet album solo, enregistré aux studios Jackson Browne de Los Angeles. Un nouvel album entre pop rock et folk, dans la plus pure tradition de ses précédents classiques, et qui est très largement inspiré de ses récents déboires conjugaux avec l'actrice Laura Dern après 5 ans de mariage et deux enfants. Pessimiste sur les relations homme-femme, la colère et le regret sont omniprésents, donnant des accents nouveaux à sa musique.